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Birault François

Les travaux encadrés par "Birault François"

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74 travaux ont été trouvés. Voici les résultats 21 à 30
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  • Hospitalisations induites par une iatrogénie dans le service de médecine polyvalente du centre hospitalier de Rochefort    - Rimbaud Sylvain  -  19 mars 2020  - Thèse d'exercice


  • Étude de faisabilité de la mise en place d'un protocole pluriprofessionnel sur les lombalgies au sein de la maison de santé des Couronneries de Poitiers    - Defontaine Aude  -  16 janvier 2020  - Thèse d'exercice

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    Contexte : La Maison de santé pluriprofessionnelle (MSP) des Couronneries de Poitiers est un lieu propice au développement de Protocoles pluriprofessionnels de soins de premier recours (PPSPR). Ceux-ci permettent une harmonisation des pratiques autour d'une problématique de santé locale dans un objectif d'amélioration de la qualité des soins. Il a été décidé de mettre en place un PPSPR concernant la prise en charge des patients souffrant de lombalgie chronique au sein de la MSP. L'origine de la lombalgie est maintenant considérée comme multifactorielle, nécessitant une prise en charge adaptée basée sur la pluridisciplinarité. Un PPSPR est donc un outil approprié. L'objectif de cette étude était d'étudier la faisabilité d'un PPSPR sur la prise en charge des lombalgies au sein de la MSP des Couronneries.

    Méthode : Identification des étapes nécessaire à l'élaboration d'un PPSPR basée sur le guide méthodologique de la Haute Autorité de santé (HAS). Les méthodes de la revue non systématique de la littérature suivie de la technique du groupe nominal ont été utilisées dans la réalisation de ces étapes.

    Résultats : Les principales étapes réalisées étaient : préparer le protocole ; préciser la problématique de travail ; ébaucher le protocole ; formaliser et structurer le protocole ; valider et diffuser le protocole. 17 références ont été incluses dans la revue non systématique de la littérature réalisée lors de deux de ces étapes. Le groupe de travail était une équipe pluriprofessionnelle de six personnes dont le travail a permis un consensus local sur la prise en charge des lombalgies.

    Conclusion : La mise en place d'un PPSPR concernant la prise en charge des lombalgies est faisable au sein de la MSP des Couronneries et est garantie par le coordinateur de santé. Le suivi de ce protocole reste à prévoir afin d'en assurer son utilisation en pratique.

  • Développement collaboratif et protocole de test d'un outil d'information sur la vaccination auprès des parents d'enfants âgés de moins de 18 ans. Une approche centrée patient.    - Collon Pauline  -  17 octobre 2019  - Thèse d'exercice

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    Introduction : Il existe actuellement une crise de confiance envers la vaccination. L'hésitation vaccinale est une notion complexe définie comme un retard dans l'acceptation ou le refus de la vaccination malgré la disponibilité des services de vaccination et des vaccins. La communication et l'information sont des outils importants de lutte contre l'hésitation vaccinale. L'objectif principal était de développer de manière collaborative un outil d'information sur la vaccination à destination des parents d'enfants de moins de 18 ans. L'objectif secondaire était de protocoliser une évaluation de son impact sur l'hésitation vaccinale.

    Matériel et Méthode : Le développement d'un prototype d'outil par le professionnel de santé a été réalisé pour servir de base de réflexions. Une enquête qualitative par entretien collectif semi-dirigé a permis la rédaction collaborative d'une brochure avec des parents d'enfants de moins de 18 ans. La relecture a été effectuée grâce à une approche qualitative lors de courts entretiens individuels. De plus, un protocole d'évaluation de l'outil a été développé pour permettre l'évaluation ultérieure de son impact sur l'hésitation vaccinale.

    Résultats : Il a été mis en évidence la nécessité d'avoir une brochure synthétique, concise, avec une présentation simple, attractive et ludique. La définition de la vaccination et le calendrier vaccinal sont mal connus et nécessitent d'être expliqués. Les parents s'interrogent sur les bénéfices et l'efficacité de la vaccination. Les effets indésirables éventuels inquiètent les parents qui sont demandeurs de plus d'informations et de transparence. Les adjuvants sont incompris tant sur leur existence que sur leur rôle. Enfin, il est nécessaire de proposer un conseil vaccinal fiable et pertinent de recueil de l'information sur Internet.

    Conclusion : L'approche centrée patient a permis de proposer un contenu adapté aux attentes et besoins des parents. L'apport de la brochure réside dans son développement collaboratif dans son intégralité, de la rédaction à la relecture. Elle est courte et adaptée à un usage quotidien en médecine générale. Elle s'inscrit dans une démarche d'autonomisation du patient et de prises de décisions partagées. Elle a été travaillée en complémentarité des politiques actuelles. C'est aussi une aide à la pratique pour le professionnel de santé. Il est désormais nécessaire de planifier une expertise précise de son impact sur l'hésitation vaccinale, d'après le protocole créé.

  • Lien entre les profils de personnalités et l'épuisement professionnel, l'empathie et le trouble de stress post-traumatique chez les internes en Médecine de la faculté de Poitiers    - Turpin Laurent  -  10 octobre 2019  - Thèse d'exercice

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    INTRODUCTION. 49% des médecins Français souffrent de Syndrome d'Epuisement Professionnel (SEP) et le Trouble de Stress Post-Traumatique (TPST) est 3 fois plus fréquent chez les soignants. Plusieurs études ont montré que les psychologues qui avaient les Schémas Précoces Inadaptés (SPI) idéaux exigeants et abnégation avaient un fort taux d'Epuisement Emotionnel (EE); que le Névrosisme prédisait l'EE et que plus le niveau de SEP des médecins généralistes était élevé, plus leur empathie était faible. La présence de SPI et d'un Névrosisme élevé expose à un TPST.

    OBJECTIFS. L'objectif de cette étude était de rechercher un lien entre certains SPI et l'apparition d'un BO et/ou d'un TSPT. Secondairement, de savoir si les premiers répondeurs étaient représentatifs de la population étudiée.

    METHODES. Les participants à l'étude étaient constitués d'une promotion d'étudiants en 1ère année du troisième cycle des études médicales de médecine générale de l'Université de Poitiers. 83,6% des étudiants (N=92, âge = 25,5 ans) ont participé. Le Young's Schema Questionnaire, 3ème version courte (YSQ-S3), le Big Five Inventory version Française (BFI-Fr), Maslach Burnout Inventory (MBI), l'Index de Réactivité Interpersonnelle (IRI), le Life Event Checklist for DSM 5 (LEC-5), le Peritraumatic Distress Inventory (PDI), le Post Traumatic Stress Disorder Check List for DSM 5 (PCL-5) et le Post Traumatic Growth Inventory (PTGI) leur ont été proposés.

    RESULTATS. Les résultats ont mis en évidence 3 profils de personnalité significativement différents selon le YSQ-S3 (cluster 1 n=46, cluster 2 n=18, cluster 3 n=28). Le cluster 3 présentait des SPI Surcontrôle Emotionnel, Idéaux Exigeants et Punition significativement plus élevés que les clusters 1 et 2. Les clusters 1 et 3 avaient un score significativement plus élevé d'Epuisement Emotionnel (EE) ainsi qu'un Névrosisme et une Ouverture plus élevés que le cluster 2. Le cluster 3 avait une dépersonnalisation (DEP) significativement plus élevée que le cluster 2. Le taux d'exposition à au moins un événement traumatique était de 93,5% avec 20,5% des étudiants qui déclaraient avoir été exposés à une souffrance humaine intense dans leur travail. Les premiers répondeurs étaient représentatifs de la population étudiée.

    CONCLUSION. La présence des SPI Surcontrôle Emotionnel, Idéaux Exigeants et Punition est significativement lié à un EE et une DEP plus élevés. Ces mêmes SPI présentaient un Névrosisme et une Ouverture plus élevés.

  • Profils de personnalité et développement du syndrome d'épuisement professionnel chez les étudiants en médecine de la faculté de Poitiers    - Giraudeau Martin  -  10 octobre 2019  - Thèse d'exercice

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    Introduction : le syndrome d'épuisement professionnel (SEP) est plus fréquent chez les soignants que dans la population générale. Certains traits de personnalité peuvent être un facteur favorisant des troubles liés au stress. Étant donné que les étudiants en médecine sont confrontés par leur formation au métier de soignant, il est intéressant de savoir si, au sein de cette population, les traits de personnalité peuvent influer sur le développement d'un syndrome d'épuisement professionnel.

    Objectif : examiner le rôle de la personnalité dans l'apparition d'un syndrome d'épuisement professionnel chez les étudiants en médecine.

    Méthodes : les participants étaient des étudiants en médecine à la faculté de Poitiers (n = 338) interrogés de mars à avril 2018. Ils ont complété l'inventaire des cinq grands facteurs de personnalité (BFI-Fr) et la version française du MBI.

    Résultats : Les résultats ont mis en évidence quatre profils de personnalités significativement différents selon le BFI-Fr. L'analyse des résultats du MBI entre ces différents clusters montre que le névrosisme est un facteur de risque de l'épuisement émotionnel et de la dépersonnalisation . Les autres traits de personnalités sont eux, protecteurs.

    Conclusion : Cette étude met en évidence l'influence des traits de personnalité sur le syndrome d'épuisement professionnel chez les étudiants en médecine de Poitiers.

  • Quelles sont les répercussions de la consommation de caféine sur la santé des étudiants?    - Masseloux Adrien  -  10 octobre 2019  - Thèse d'exercice

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    Introduction : La caféine est une substance psychoactive retrouvée dans diverses sources comme le café, le thé ou les boissons énergisantes. Elle est consommée par les étudiants dans des cadres scolaires et festifs dans le but d’améliorer les performances physiques et intellectuelles. L’objectif de ce travail était d’évaluer les relations entre la consommation de caféine et les répercussions sur la santé chez les étudiants.

    Matériel et méthodes : Nous avons réalisé une revue de la littérature sur deux bases de données : PubMed® et ScienceDirect®. L’équation de recherche était « CAFFEINE » AND « STUDENTS ». Nous avons étudié les différentes répercussions physiques et psychologiques liées à la consommation de caféine, évaluées uniquement au moyen d’échelles de mesures validées.

    Résultats : 474 références ont été retrouvées, parmi lesquelles 44 références ont été incluses dans cette revue. La consommation de caféine a impacté la qualité du sommeil et majoré la somnolence diurne. Les étudiants consommant de la caféine étaient majoritairement d’un chronotype tardif. La caféine a été responsable de symptômes dépressifs plus marqués ainsi que de consommations associées comme l’alcool. Le stress et l’anxiété, n’ont pas été impactés par la caféine. Des répercussions physiques cardiovasculaires ont été retrouvées ainsi que divers symptômes (reflux gastro œsophagien, vessie irritable, céphalées et migraines).

    Conclusion : La consommation de caféine est responsable de multiples symptômes. Il serait intéressant de mieux évaluer le niveau de consommation à l’aide de questionnaires validés. De nouvelles études pourraient analyser des populations différentes.

  • Prévalence du burnout chez les soignants et la population générale : une revue de littérature.    - Pham Nguyem  -  23 juin 2019  - Thèse d'exercice

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    Le syndrome d'épuisement professionnel a été décrit pour la première fois par Claude Veil en 1959, conceptualisé par Herbert Freudenberger en 1974 et par Christina Maslach quelques années plus tard en élaborant le test Maslach Burnout Inventory (MBI). A ce jour, il n'existe aucune définition consensuelle de l’épuisement professionnel, absent de la CIM 10 et du DSM-V. La littérature met en évidence une multitude de symptômes et de facteurs de risques. L'objectif de cette étude est d'étudier la prévalence du burnout chez les soignants et la population générale en le mesurant par le MBI. L’objectif secondaire est de caractériser la différence de prévalence entre ces deux populations.

    Une revue de littérature a été effectuée sur trois bases (Pubmed, Science Direct et Sudoc) en 2019. L'équation de recherche était : Burnout, Physicians, Residents, Nurses, Students, Population, Workers, Occupational Groups. Deux chercheurs ont sélectionné indépendamment les articles à inclure. L'analyse de la méthodologie des articles a été effectuée à l'aide du Cochrane Risk of Bias 2 et Robins-I Tool. L'analyse statistique a été réalisée à l'aide d'un test de Welch et une méta analyse (Revman 5.3) pour les articles étudiant la prévalence du burnout dans les deux populations.

    L’étude a inclus 75 articles. La prévalence du burnout chez les soignants (38.5%) est différente de celle de la population générale (25.8%) (test de Welch p<0.02). La méta-analyse effectuée sur 3 articles confirme ce résultat (I²= 97%, Z=36,6, P<0,01).

    On retrouve dans la littérature actuelle une hétérogénéité importante quant à la prévalence du burnout en raison de définitions du burnout et de tests de mesure nombreux. Certains considèrent le burnout comme une forme de dépression. Thirioux et al propose un modèle neurophysiologique. L’inhibition des aires émotionnelles permettent aux aires cognitives de développer l’empathie. La répétition de la confrontation aux souffrances de l’autre crée des syndromes post traumatiques répétés, qui pourraient faire le lit d’un épuisement émotionnel en limitant l’inhibition de l’empathie émotionnelle. Cette nouvelle approche permettrait de préciser le mécanisme d’apparition du burnout et peut être de différencier le burnout et la dépression chez les soignants, confirmant ainsi les résultats de notre étude.

  • Inégalité d'accès aux soins concernant la prescription de contraception chez les femmes bénéficiaires ou non de la CMU-C.    - Chevalier Clotilde  -  23 mai 2019  - Thèse d'exercice

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    Introduction : La prescription d'une contraception nécessite la prise en compte d'éléments médicaux, psychologiques et socio-environnementaux. Les bénéficiaires de la CMU-C, qui ont de faibles ressources financières, ont un état de santé plus dégradé que le reste de la population. L'objectif de cette étude est de savoir s'il existe une différence de prescription par les médecins généralistes, en 2015, des différentes contraceptions entre les patientes bénéficiaires de la CMU-C et celles bénéficiant de la prestation de référence.

    Matériel et méthode : Il s'agit d'une étude observationnelle, quantitative, rétrospective, incluant toutes les bénéficiaires de la prestation de référence et de la CMU-C affiliées à la Sécurité sociale française en 2015. Les données de l'Institut statistique des professionnels de santé libéraux concernant les feuilles de soins des médecins généralistes remboursées en 2015 ont été utilisées. Le critère de jugement principal est la présence d'une différence de remboursement entre les deux populations avec une probabilité au seuil de 5%. Un test statistique de Chi 2, pour les contraceptions hors urgence, et un test de Wilcoxon, pour les contraceptions orales d'urgence, ont été réalisés avec le logiciel Statistica R.

    Résultats : Pour les contraceptions hors urgence, regroupées en 14 catégories de dénominations communes internationales équivalentes, il existe une différence statistiquement significative de remboursement entre les bénéficiaires de la CMU-C et celles de la prestation de référence (Chi 2=52607928, Dl=13, p<0,05). Pour les 2 catégories de contraceptions orales d'urgence, il n'y a pas de différence statistiquement significative (p=0.17).

    Conclusion : Les contraceptions prescrites aux bénéficiaires de la CMU-C hors urgence sont différentes de celles prescrites au reste de la population. Plusieurs facteurs pourraient expliquer cela, notamment l'âge, les antécédents, l'observance, les attentes des femmes, mais également l'attitude des prescripteurs en fonction du statut socio-économique des patientes.

  • Étude de la consommation de benzodiazépines chez les bénéficiaires de la couverture maladie universelle complémentaire et de la prestation de référence de l'Assurance Maladie, en Médecine Générale en France en 2015    - Rainteau Anne-Charlotte  -  21 mai 2019  - Thèse d'exercice

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    Objectif : Déterminer si la consommation en benzodiazépines des bénéficiaires de la couverture maladie universelle complémentaire est différente de celle des non-bénéficiaires de la couverture maladie universelle complémentaire.

    Méthodes : Nous avions étudié la population de patients détenteurs de la couverture maladie universelle complémentaire qui ont consommé des benzodiazépines en comparaison de la population « prestation de référence », en France en 2015. La population « prestation de référence » concernait les patients qui ont consommé des benzodiazépines remboursées au taux du régime général. Le critère de jugement principal était une répartition différente au seuil de 5% par molécule entre les populations « prestation de référence » et « CMU».

    Résultats : La différence entre les montants de la population « couverture maladie universelle » théorique et de la population « couverture maladie universelle » observée était significative. Ceci nous permettait de conclure que la consommation de benzodiazépines chez les bénéficiaires de la couverture maladie universelle complémentaire et de la prestation de référence de l'Assurance Maladie était différente. Certaines molécules étaient sur-prescrites : le Lormétazépam, le Zopiclone, l'Estazolam, le Loprazolam et le Zolpidem. A contrario, d'autres étaient sous-prescrites : le Bromazépam, le Clorazépate dipotassique, le Clobazam, le Loflazépate d'éthyle, le Nordazépam et le Lorazépam.

    Conclusion : Traitement majoritairement initié par les médecins généralistes, la classe médicamenteuse des benzodiazépines est concernée par une amélioration des pratiques : durée de prescription, indication, effets indésirables, complications. Il semble donc primordial de comprendre si les facteurs de précarité sont les causes ou les conséquences de la mauvaise santé mentale et de la consommation de benzodiazépines de cette population, afin de proposer des mesures de Santé Publique pour une prise en charge plus adaptée.

  • Dépression et syndrome de stress post-traumatique : revue de la littérature    - Consil Elodia  -  21 mai 2019  - Thèse d'exercice

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    L'objectif de cette revue est d'analyser, en fonction des travaux déjà réalisés, si des liens ont été décrit dans la littérature entre le syndrome de stress post-traumatique et la dépression.

    Méthode : Revue de la littérature ayant été effectuée dans la base Pubmed depuis 2002 sur le SPDT et la dépression chez le personnel soignant, en cherchant les articles de revue dans le moteur de recherche grâce aux mots clefs Health Personnel, Depression and Stress Disorders Post-Traumatic.

    Deux chercheurs ont sélectionné indépendamment les titres et les résumés puis les articles se prêtant à la revue. Les articles étaient non retenus si l'on ne trouvait pas la notion de dépression ni de SPDT dans le titre, ni dans le résumé. Les risques de biais ont été analysés pour les essais randomisés par Cochrane Risk of Bias 2, par Robins-I Tool pour ceux non randomisés. La qualité des études à quant à elle été analysée par Amstar pour les méta-analyses.

    Résultats : 76 résultats ont été obtenus dont 48 ont été sélectionnés de 2002 à 2018. Les études montrent une forte prévalence de syndrome de stress post-traumatique et de dépression chez les soignants avec un lien entre ces deux entités retrouvées dans 11 des articles sélectionnés : l'une des pathologies étant la porte d'entrée vers l'autre. Reste tout de même que la majorité (30 articles) définissent 2 pathologies bien distinctes qu'il faut traiter chacune selon ses protocoles thérapeutiques.

    Conclusion : La majorité des articles décrivent syndrome de stress post-traumatiques et dépression comme des conséquences distinctes de l'exposition à un traumatisme. Une étude évaluant la dépression chez des personnes déjà suivi pour syndrome de stress post-traumatique serait souhaitable pour identifier les facteurs faisant évoluer de l'une à l'autre de ces pathologies.

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