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Pérault-Pochat Marie-Christine

Les travaux encadrés par "Pérault-Pochat Marie-Christine"

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  • Élaboration d'un outil d'aide à la prise en charge des effets indésirables des inhibiteurs des points de contrôle à destination des médecins généralistes de l'ex-région Poitou-Charentes    - Audoux Mathilde  -  06 septembre 2018  - Thèse d'exercice

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    L'immunothérapie en cancérologie constitue une véritable révolution thérapeutique en améliorant de manière significative la survie des patients. Les anti-PD1 sont à l'heure actuelle, les seules molécules à posséder autant d'indications thérapeutiques. Ainsi, le nombre de patients susceptibles de recevoir ces molécules augmente de manière exponentielle nécessitant une réorganisation des soins en oncologie. Bien que mieux tolérée que la chimiothérapie usuelle, l'immunothérapie a des effets indésirables spécifiques nommés immune-related Adverse Events. La gestion de ces toxicités auto-immunes nécessite la formation des médecins généralistes dans le but d'améliorer la tolérance des patients à cette thérapeutique.

    L'objectif principal de ce travail a été d'élaborer un outil d'aide à la prise en charge des effets indésirables à destination des médecins généralistes de l'ex-région Poitou-Charentes. L'objectif secondaire a été d'évaluer son impact à court terme sur la connaissance des effets indésirables spécifiques, leur prise en charge et la capacité du généraliste à joindre un spécialiste référent. L'étude prospective qualitative réalisée permet de mettre évidence que 15,2% seulement des médecins généralistes interrogés connaissent les effets indésirables spécifiques des inhibiteurs de point de contrôle et ce chiffre ne monte qu'à 30% parmi les praticiens qui ont au moins un patient traité par immunothérapie. Seulement 13,3% des généralistes interrogés s'estiment "plutôt à l'aise" ou "très à l'aise" concernant la gestion des immune-related Adverse Events. De plus, 40% des praticiens expriment rencontrer des difficultés pour joindre l'oncologue référent de leur patient.

    Dans le cadre de cette thèse, l'outil d'aide concernant la gestion des effets indésirables des inhibiteurs de checkpoint mis au point et appelé TOXIMMUNO a été conçu sous la forme d'un site Internet, d'accès libre et utilisable en consultation à destination des médecins généralistes de l'ex-région Poitou-Charentes.

    Après la mise à disposition de TOXIMMUNO, 89,6% des médecins généralistes déclarent connaître les effets indésirables spécifiques des inhibiteurs de point de contrôle (p < 0,0001) et 86,9% s'estiment être "très à l'aise" ou "plutôt à l'aise" concernant leur gestion (p < 0,0001). De plus, l'outil permet d'améliorer de manière significative la communication entre le spécialiste et le généraliste (p < 0,0001).

    Un des enjeux majeurs de TOXIMMUNO est désormais la pérennisation des informations délivrées.

  • Hospitalisations induites par une iatrogénie dans le service de médecine polyvalente du centre hospitalier de Rochefort    - Rimbaud Sylvain  -  19 mars 2020  - Thèse d'exercice


  • Comparaison des systèmes de pharmacovigilance et cosmétovigilance en Europe et en France    - Klinnik Marie  -  17 décembre 2020  - Thèse d'exercice

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    Les vigilances se sont construites avec des scandales sanitaires. Cependant certains produits faisant l’objet d’une vigilance particulière ne font pas l’objet d’une analyse bénéfice risque. C’est le cas des cosmétiques. Produits de la vie courante dont l’utilisation ne cesse d’augmenter, ils sont au même titre que les médicaments, des produits de santé. Ils ne bénéficient pas d’autorisation préalable de mise sur le marché et c’est la personne responsable qui est garante de leur innocuité. Malgré leur injonction initiale qui est « ne pas nuire » ils peuvent parfois provoquer des effets indésirables. Un système de vigilance s’impose alors. Afin d’établir une comparaison entre ces deux systèmes, un état des lieux a d’abord été réalisé permettant d’observer sur quelles bases ils ont été construits en Europe et en France. La cosmétovigilance a été construite sur le modèle de la pharmacovigilance. Notre comparaison met en exergue des points communs avec notamment le problème de sous-notification qui affecte toutes les vigilances ; et des différences : le système de pharmacovigilance fait l’objet d’une législation beaucoup plus rigoureuse que le système de cosmétovigilance. Ce dernier en pâtit d’autant plus qu’il existe d’autre freins à son évolution : la communication entre les entreprises cosmétiques et l’ANSM est assez hermétique. Il en va de même pour la communication entre les entreprises et les consommateurs. La nécessité d’un système de cosmétovigilance n’est plus à prouver mais ce système doit être amélioré et consolidé pour permettre une meilleure protection des utilisateurs.

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affiche de communication sur le dépôt des travaux d'étudiants : 215, c'est le nombre de fois où le réveil a sonné trop tôt cette année pour travailler sur mon mémoire. Franchement j'aimerai ne pas être le seul à l'avoir lu ! / Lionel Bernardin / idsworks.com
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