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  • Évaluation de la qualité de vie des femmes en cours de Fécondation In Vitro    - Devaud Coraline  -  13 novembre 2015  - Thèse d'exercice

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    Objectif : Évaluer la qualité de vie des femmes et son évolution en cours de stimulation ovarienne pour Fécondation in vitro.

    Patientes et méthodes : Analyse secondaire incluant 87 patientes prises en charge au CHU de POITIERS dans le cadre d'une FIV entre juillet 2012 et juillet 2013. Les données étudiées ont été extraites de l'étude ENDOFI. Les patientes ayant répondu à l'EuroQol 5D avant et pendant la stimulation étaient incluses dans notre étude. L'objectif principal était d'étudier la qualité de vie et son évolution en cours de FIV et de chercher des facteurs explicatifs parmi l'âge, la parité, la durée de l'infertilité, le nombre de tentative de FIV antérieures et l'existence d'une endométriose.

    Résultats : 87 patientes ont été incluses sur les 163 patientes de l'étude ENDOFI. En majorité, il s'agissait de femmes jeunes (33 ans ± 5), nullipares, ayant un désir de grossesse depuis 3 ± 2 ans. La qualité de vie était globalement conservée avec un EQ 5D VAS moyen supérieur à 75/100. Les domaines de la qualité de vie les plus altérés en cours de FIV étaient la douleur et l'anxiété. Une anxiété était signalée par 66% des patientes avec une intensité extrême dans 19% des cas. L'intensité de l'anxiété était stable alors que la douleur augmentait significativement en cours de FIV (p=0,03118). Il n'a pas été retrouvé de facteurs explicatifs concernant la douleur et l'anxiété parmi l'âge, la duré de l'infertilité, la parité, le nombre de tentative de FIV et l'existence d'une endométriose. L'état de santé était significativement moins bon lorsque les patientes souffraient d'endométriose (p<0,0001) que ce soit avant ou pendant la stimulation ovarienne. L'existence d'une endométriose diminuait de 21 points sur 100 l'état de santé. Le nombre de FIV était également un facteur explicatif de l'altération de l'état de santé avec cependant moins d'impact que l'endométriose. A chaque tentative de FIV, l'état de santé diminuait de 3,76 points sur 100.

    Conclusion : La qualité de vie des patientes au cours d'un parcours en AMP (aide médicale à la procréation) doit faire partie des préoccupations médicales et ce d'autant plus qu‘il existe une pathologie chronique comme l'endométriose associée à l'infertilité.

  • Dépistage de la macrosomie foetale au CHU de Poitiers : prévalence, intérêt et perspectives d'améliorations    - Giraud Maëlle  -  30 juin 2016

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    Introduction : La suspicion de macrosomie foetale influence la prise en charge de la grossesse et plus particulièrement celle de l’accouchement. Nous avons voulu évaluer la part d’enfants macrosomes non suspectés et l’intérêt du dépistage de la macrosomie sur la prise en charge de l’accouchement et ses complications chez les enfants macrosomes.

    Méthode : Il s’agit d’une étude rétrospective réalisée du 1er janvier 2012 au 31 décembre 2014 au CHU de Poitiers. Tous les enfants nés vivants, après 37 semaines d’aménorrhées et pesant plus de 4000g à la naissance ont été inclus dans l’étude. Le suivi de grossesse, de l’accouchement et du post-partum ont été analysé. Les enfants ont été répartis dans deux groupes : macrosomie foetale suspectée ou non.

    Résultats : Quatre cent cinquante-huit dossiers ont été étudiés. Seulement 34,3% des enfants macrosomes étaient dépistés. En cas de suspicion de macrosomie, les enfants étaient de poids plus élevés (p < 0,001), il y avait plus de césariennes (10,3% contre 37,6%, p < 0,00001), la durée du travail et le temps passé à dilatation complète étaient plus longs. L’absence de dépistage n’a pas augmenté les complications maternelles et néonatales. En cas de suspicion de macrosomie, il y avait deux fois plus de femmes obèses (p < 0,0005), plus de diabète gestationnel (p < 0,05) et la hauteur utérine était plus élevée.

    Conclusion : Beaucoup de foetus macrosomes sont non dépistés à l’accouchement. Néanmoins, l’absence de dépistage ne semble pas augmenter les complications. Un meilleur suivi diététique des femmes en surpoids et une biométrie à 38 SA en cas de hauteur utérine anormale pourrait être envisagé afin de mieux dépister la macrosomie.

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