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Diplôme d'état de Médecine

Les travaux sélectionnés

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1969 travaux ont été trouvés. Voici les résultats 1 à 10
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  • L'efficacité des Inhibiteurs de la Pompe à Protons sur les symptômes de Reflux Gastro-Œsophagien chez les enfants de moins de un an : revue systématique de la littérature    - Coudert Anne-lore  -  14 mars 2024  - Thèse d'exercice

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    Introduction : Le Reflux Gastro-Œsophagien (RGO) symptomatique chez l’enfant de moins de 1 an est une problématique fréquemment rencontrée par tout médecin généraliste, en soins primaires. La prévalence maximale du RGO est de 60 % à 70 % chez les enfants de 4 mois. Le RGO devient pathologique lorsque ce dernier entraine des symptômes cliniques sur les plans digestif (vomissements), cardio-respiratoire (apnée, bradycardie) et comportemental (pleurs). Cette situation entraine une prescription d’un traitement médicamenteux avec notamment le recours aux Inhibiteurs de la Pompe à Protons (IPP).

    Objectif : Cette revue systématique de littérature a pour objectif de déterminer l’efficacité des IPP sur les symptômes de RGO chez les enfants de moins de 1 an.

    Méthodologie : Le protocole de recherche de cette revue de littérature, défini a priori, suit les recommandations PRISMA-P 2020. Une recherche documentaire systématique a été effectuée sur les bases de données PubMed, Cochrane Library et Embase. Toutes les études randomisées, publiées avant le 8 juillet 2023, comparant l’efficacité d’un IPP contre placebo sur les symptômes de RGO chez les enfants de moins de 1 an ont été inclues.

    Résultats : A partir des 385 études identifiées, une totalité de 9 études cliniques randomisées comparant un IPP à un placebo ont été inclues. L’analyse narrative a permis de mettre en avant des résultats concordants. Huit études n’ont pas montré de différence significative pour l’efficacité des IPP en comparaison au placebo sur les symptômes cliniques de RGO. Seule une étude met en avant une amélioration des symptômes avec le lansoprazole mais cette étude présente un risque global de biais élevé. Cinq études ont mis en évidence une amélioration significative des symptômes (pleurs, irritabilité, vomissements, etc.) au cours des études indépendamment du traitement administré.

    Conclusion : Cette revue de littérature montre une absence de preuve d’efficacité des IPP sur les symptômes de RGO chez les enfants de moins de un an. Cette étude confirme que l’amélioration des symptômes de reflux gastro-œsophagien au cours de la première année évolue indépendamment du traitement reçu (inhibiteurs de la pompe à protons ou placebo).

  • Dépistage et connaissances de la dénutrition du sujet âgé en ambulatoire par les médecins généralistes en Charente.    - Goncalves Audrey  -  01 février 2024  - Thèse d'exercice

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    Introduction : La population est vieillissante, en 2050 selon l'INSEE 4 millions de personnes âgées seraient en perte d'autonomie. 17,8% de la population aura plus de 70 ans en 2070. La dépendance, la dénutrition, la lutte contre l'isolement et la précarité sont dans les objectifs du Programme National Nutrition Santé de 2019-2023. En novembre 2021, la HAS a actualisé les critères de dépistage de la dénutrition chez la personne âgée.

    Objectif de l'étude : L'objectif principal était de voir si, depuis les nouvelles recommandations, les pratiques de dépistages et les connaissances avaient évoluées et s'il existe une évolution depuis les précédentes thèses.

    Méthode : Une étude qualitative a été menée sur un échantillon de 10 médecins généralistes en Charente par entretien individuel semi-dirigé. L'analyse s'est inspirée de la méthode par théorisation ancrée. Le nombre de participants a été défini par la saturation des données.

    Résultats : Les médecins interrogés semblaient peu au courant des dernières recommandations de la HAS. L'apport de la formation, le fait de connaître son patient et de le prendre dans sa globalité semblait influer le dépistage de la dénutrition. La réflexivité et le Gut Feeling étaient prépondérants dans le dépistage de la dénutrition. L'importance de communiquer avec ses pairs, de partager les connaissances et travailler en réseaux semblaient très importants dans la pratique du dépistage pour les médecins.

    Discussion : Ces résultats nous montrent l'importance d'une prise en charge coordonnée, de partager les connaissances, l'intérêt d'accentuer la formation des médecins sur la dénutrition mais également la nécessité de cultiver la réflexivité chez chaque généraliste. La prévention pourrait se digitaliser pour sensibiliser la nouvelle génération de médecins.

  • Dépistage du cancer du sein chez les femmes âgées de 75 ans et plus à Bordeaux en 2023 : étude descriptive par questionnaire auprès d’un échantillon de 91 femmes.    - Piyaraly Shayane  -  21 décembre 2023  - Thèse d'exercice

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    Introduction : Le cancer du sein est le cancer le plus fréquent chez la femme. Les prévisions pour 2050 font état d'une augmentation de 50% de la proportion des plus de 75 ans dans la population française. L'oncogériatrie ainsi que les stratégies de dépistage seront donc un enjeu majeur en santé publique. Après 74 ans, le dépistage est individuel.

    L'objectif de l'étude est de réaliser un état des lieux du dépistage du cancer du sein chez les femmes de plus de 75 ans. Méthode : Il s'agit d'une étude descriptive, transversale et quantitative par questionnaires effectués auprès des femmes de plus de 75 ans dans la métropole de Bordeaux.

    Résultats : 56% de l'échantillon n'a pas réalisé d'autopalpation mammaire après 75 ans. Les facteurs associés à l'autopalpation dans notre étude sont : l'âge, le niveau d'étude, le niveau de recours aux aides à domicile, l'éducation à l'autopalpation. 70,3% de l'échantillon n'a pas bénéficié d'ECM après 75 ans. Les facteurs associés à l'ECM sont : le suivi gynécologique, le souhait de poursuivre les mammographies, l'information reçue sur le dépistage du cancer du sein après 75 ans et l'éducation à l'autopalpation mammaire. 28,4% ont réalisé au moins une mammographie après 75 ans. Les facteurs associés sont le niveau d'étude, le suivi gynécologique, l'information reçue sur le dépistage après 75 ans, le souhait de poursuivre le dépistage par mammographie, l'éducation à l'autopalpation et la réalisation d'au moins un ECM par un professionnel de santé après 75 ans. 65,9% de l'échantillon de notre étude n'a bénéficié ni d'ECM ni de mammographie après 75 ans.

    Conclusion : Notre étude a mis en évidence un manque important de mesures de dépistage chez les femmes de plus de 75 ans dans la métropole de Bordeaux. Le manque de recommandations spécifiques impacte le dépistage individuel chez les femmes âgées. La décision de poursuite de mammographie doit être prise par le médecin traitant et la patiente après information éclairée. L'examen clinique mammaire devrait être systématique.

  • Prévalence des violences sexistes et sexuelles durant la carrière des médecins en France    - Ricou Antoine  -  21 décembre 2023  - Thèse d'exercice

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    Introduction : Les violences sexuelles et sexistes sont fréquentes au sein de la population générale, et le monde médical n’est malheureusement pas épargné. A notre connaissance aucune étude n’a à ce jour été menée à l’échelle nationale et sur l’ensemble des médecins en France. L’objectif de cette étude était d’estimer la prévalence des violences sexuelles et sexistes subies par les médecins en France durant leur carrière. Les objectifs secondaires consistaient à analyser à quels moments de la carrière se sont déroulés les faits, à identifier les profils des agresseurs, à évaluer la répercussion de ces violences sur les victimes.

    Méthode : Nous avons réalisé une étude observationnelle épidémiologique transversale à l’échelle nationale. Cette étude a été conduite entre le 06 décembre 2022 et le 22 aout 2023, sous forme d’un questionnaire anonyme standardisé diffusé via des associations de médecins, des Conseils de l’Ordre des Médecins Départementaux, les réseaux sociaux et les facultés. Nous avons analysé 2320 questionnaires.

    Résultats : La prévalence globale des VSS était de 57%. Parmi les hommes, 19% en ont été victimes contre 76% chez les femmes. Avec une prévalence de 57%, les propos sexistes restaient de loin le premier type de VSS. Dans l’échantillon analysé, 13,6% des répondants ont subi une ou des agressions sexuelles. Parmi celles-ci, 88% des victimes étaient des femmes et 12% des hommes. La majorité de ces agressions se sont déroulées durant le 2ème cycle des études de médecine. Trente-cinq médecins ont déclaré avoir été victime de viol en rapport avec leur profession, dont 32 femmes. La majorité des actes se sont déroulés lors du 1er et 3ème cycle. Il y a eu un impact sur la qualité de vie chez 25% des médecins victimes de VSS.

    Discussion : Cette étude suggèrerait que les violences sexistes et sexuelles durant la carrière des médecins en France sont fréquentes, la grande majorité se produirait lors des trois premiers cycles des études de médecine. Il serait intéressant d’accentuer la prévention durant ces phases à risque, chez les étudiants mais également chez les médecins qui les encadrent. Il semblerait pertinent de faire de la prévention directement auprès des potentiels agresseurs. De plus, nous avons recueilli un certain nombre de témoignages durant cette étude et il serait intéressant de les exploiter dans une étude ultérieure qualitative afin de poursuivre ce travail.

  • État des lieux de l'impact sur la sexualité du cancer du sein chez la femme, et comment l'aborde-t-on en médecine générale.    - Birat Pauline  -  14 décembre 2023  - Thèse d'exercice

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    INTRODUCTION : Le cancer du sein est le cancer le plus fréquent chez la femme. Si les dysfonctions sexuelles des femmes atteintes d'un cancer du sein étaient surtout abordées dans des études quantitatives, en milieu hospitalier, peu d'études s'intéressaient au vécu des patientes, en médecine générale. L'objectif principal de notre étude était de faire un état des lieux de la sexualité des femmes atteintes d'un cancer du sein. Les objectifs secondaires s'intéressaient à l'évaluation, en médecine générale, de la santé sexuelle de ce même échantillon et aux attentes envers le médecin traitant.

    MATERIEL ET MÉTHODES : Étude qualitative, par entretiens semi dirigés réalisés entre Mars et Juin 2023, auprès de patientes suivies pour un cancer du sein au sein d'une MSP de La Vienne. L'analyse des données a été effectuée à l'aide du logiciel NVivo® avec triangulation de l'encodage des entretiens.

    RESULATS : 14 patientes ont été inclues, âgées de 40 à 80 ans, issues de CSP variées et ayant bénéficié de schémas thérapeutiques différents. La sexualité était souvent décrite comme secondaire face au combat contre la maladie. Le cancer du sein pouvait avoir des répercussions sur l'intégrité physique et psychologique des patientes, mais aussi dans la vie intime des couples. La perte de l'intégrité d'un sein et les modifications de l'image corporelle pouvaient être à l'origine d'un sentiment de dévalorisation. Les liens affectifs avec le conjoint étaient le plus souvent renforcés, mais des réactions négatives du partenaire ont pu être rapportées. Aborder les troubles de la sexualité semblait être un sujet sensible pour les patientes. Bien que quelques professionnels de santé se préoccupent de ce sujet, un manque d'information et d'évaluation de la santé sexuelle des femmes atteintes d'un cancer du sein restait prononcé en milieu hospitalier et plus encore en médecine générale. Les attentes des patientes envers leur médecin traitant concernant ce sujet n'étaient pas consensuelles.

    CONCLUSION : Les troubles de la sexualité sont fréquents chez les femmes atteintes d'un cancer du sein. Le manque d'information et d'évaluation est marqué en médecine générale. Les attentes des patientes envers leur médecin traitant ne sont ni systématiques ni uniformes, et parfois orientées vers d'autres professionnels de santé. Le point de vue des conjoints mais aussi des médecins généralistes concernant ce sujet pourrait être intéressant à étudier.

  • État des lieux des pratiques professionnelles des médecins généralistes à propos du Harcèlement Scolaire en poitou-Charentes    - Robin Yoann  -  14 décembre 2023  - Thèse d'exercice

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    Le harcèlement scolaire (HS) concerne 11,7% des enfants d'âge scolaire en France, ses conséquences plurielles sur la santé mentale et physique en font un réel enjeu de santé publique. Les patients et leurs parents établissent un lien entre HS et Santé, ils souhaitent la participation de leur médecin généraliste (MG) à la prise en charge du HS. Au sens de la loi, les MG sont un des acteurs de la prise en charge du HS, pourtant, aucune recommandation nationale n'a été émise à ce sujet.

    L'étude réalisée fait état des pratiques professionnelles des MG de l'ancienne région Poitou-Charentes à propos du HS en l'absence de recommandations nationales. Une étude descriptive transversale a été réalisée entre juin et septembre 2023 au moyen d'un questionnaire investiguant la sensibilisation au HS et les pratiques professionnelles des MG. Il a été administré à 75 MG.

    Les résultats de cette étude montrent qu'en l'absence de recommandations nationales, la sensibilisation des MG au HS et leurs pratiques professionnelles sont significativement différentes. Les MG se sentent peu à l'aise avec cette prise en charge, malgré leur envie de s'inscrire dans le parcours de soin d'un enfant victime de HS. Ils ont également identifié différents freins à la prise en charge (chronophage, complexe, manque de formation). Des résultats comparables ont été retrouvés dans d'autres régions françaises.

    Cette étude a permis de mettre en exergue une sensibilisation différente des MG au HS ainsi qu'une hétérogénéité des pratiques professionnelles, comme cela est le cas en anciennes régions Languedoc-Roussillon, Franche-Comté et Picardie. Elle laisse entrevoir la nécessité d'élaborer des recommandations nationales.

  • Prise en charge de la dyspepsie chronique en soins primaires : Revue narrative de la littérature    - Triphose Audrey  -  14 décembre 2023  - Thèse d'exercice

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    Introduction : La dyspepsie est une maladie à forte prévalence ce qui en fait un motif fré-quent de consultation en soins primaires. Les directives existantes mettent l'accent sur le rôle des examens et des traitements. Néanmoins, il existe peu de directives publiées sur la prise en charge de la dyspepsie en médecine générale.

    Méthode et objectif : Cette revue narrative de la littérature a pour but de réaliser un état des lieux des stratégies appliquées par les médecins de soins primaires dans la prise en charge des patients présentant des symptômes de dyspepsie chronique. Vingt-deux articles ont été sélectionnés dans l’étude en utilisant la méthode PRISMA.

    Résultats : La dyspepsie représentait jusqu’à 7,3% des consultations en soins primaires. Le recours à l’endoscopie précoce atteignait 49% dans les études d’Europe et d’Amérique et 68% en Asie-Pacifique et Japon. Les différentes études s’accordaient sur les indications de réalisation de l’endoscopie digestive en cas de signes d’alarme ou chez les patients âgés de plus de 45/50 ans. Cependant, les médecins généralistes ont eu recours à la gastroscopie en cas de dyspepsie chez un adulte jeune, pour des motifs variés dépassant largement le cadre des signes d’alarme. Le dépistage de Helicobacter pylori était réalisé dans la majorité des études par biopsies au cours de la gastroscopie lorsque celle-ci était indiquée ou en cas de facteur de risque d’infection. Les tests non invasifs, notamment la sérologie, étaient principa-lement utilisés en seconde intention, en dépistage pré-endoscopique ou en cas de difficulté d’accès à l’endoscopie. La démarche thérapeutique variait selon les pays d’étude. Différentes stratégies ont été appliquées telles qu’une abstention thérapeutique sous couvert de règles hygiéno-diététiques ou un traitement médicamenteux d’emblée. Le choix du traitement était orienté selon les symptômes, mais également l’âge et le sexe. La classe thérapeutique de premier choix s’orientait vers les médicaments suppresseurs de l’acidité gastrique.

    Conclusion : Il existe une hétérogénéité des pratiques en soins primaires dans la prise en charge de la dyspepsie. Une définition de la dyspepsie plus adaptée à la pratique ainsi qu’une harmonisation des lignes directrices semblent primordiale notamment en France.

  • Prise en charge de la dyspepsie chronique en soins primaires‎ : Revue narrative de la littérature    - Noiraud Adèle  -  14 décembre 2023  - Thèse d'exercice

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    Introduction : La dyspepsie est une maladie à forte prévalence ce qui en fait un motif fré-quent de consultation en soins primaires. Les directives existantes mettent l'accent sur le rôle des examens et des traitements. Néanmoins, il existe peu de directives publiées sur la prise en charge de la dyspepsie en médecine générale.

    Méthode et objectif : Cette revue narrative de la littérature a pour but de réaliser un état des lieux des stratégies appliquées par les médecins de soins primaires dans la prise en charge des patients présentant des symptômes de dyspepsie chronique. Vingt-deux articles ont été sélectionnés dans l’étude en utilisant la méthode PRISMA.

    Résultats : La dyspepsie représentait jusqu’à 7,3% des consultations en soins primaires. Le recours à l’endoscopie précoce atteignait 49% dans les études d’Europe et d’Amérique et 68% en Asie-Pacifique et Japon. Les différentes études s’accordaient sur les indications de réalisation de l’endoscopie digestive en cas de signes d’alarme ou chez les patients âgés de plus de 45/50 ans. Cependant, les médecins généralistes ont eu recours à la gastroscopie en cas de dyspepsie chez un adulte jeune, pour des motifs variés dépassant largement le cadre des signes d’alarme. Le dépistage de Helicobacter pylori était réalisé dans la majorité des études par biopsies au cours de la gastroscopie lorsque celle-ci était indiquée ou en cas de facteur de risque d’infection. Les tests non invasifs, notamment la sérologie, étaient principa-lement utilisés en seconde intention, en dépistage pré-endoscopique ou en cas de difficulté d’accès à l’endoscopie. La démarche thérapeutique variait selon les pays d’étude. Différentes stratégies ont été appliquées telles qu’une abstention thérapeutique sous couvert de règles hygiéno-diététiques ou un traitement médicamenteux d’emblée. Le choix du traitement était orienté selon les symptômes, mais également l’âge et le sexe. La classe thérapeutique de premier choix s’orientait vers les médicaments suppresseurs de l’acidité gastrique.

    Conclusion : Il existe une hétérogénéité des pratiques en soins primaires dans la prise en charge de la dyspepsie. Une définition de la dyspepsie plus adaptée à la pratique ainsi qu’une harmonisation des lignes directrices semblent primordiale notamment en France.

  • Élaboration d'un questionnaire identifiant les facteurs de risques de rechute en addiction, modifiables par le médecin généraliste    - Péducasse Aurélie  -  07 décembre 2023  - Thèse d'exercice

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    Introduction : Les troubles addictifs sont encore aujourd'hui un enjeu de santé publique majeur, du fait du nombre de décès dont ils sont responsables chaque année. Le mécanisme de rechute, bien qu'encore mal codifié, est une étape quasi obligatoire chez les patients souffrant de ces troubles. Il parait donc essentiel de mieux l'appréhender, en particulier en médecine générale, afin de mieux le prendre en charge. Avec l'existence de nombreux tests cliniques évaluant différents facteurs de risques, aujourd'hui rattachés à la rechute via de précédents travaux, il nous a paru pertinent de créer un questionnaire unique visant à prévenir le risque de rechute à proprement parlé.

    L'objectif de cette étude est de créer un questionnaire pour dépister l'ensemble des facteurs de risques de rechute en addictologie, modifiables par le médecin généraliste, afin de mieux prévenir les rechutes chez les patients addicts.

    Méthode : Nous avons réalisé une revue de la littérature afin d'y extraire le plus de test concernant les différents facteurs de risques de rechutes identifiés lors de précédents travaux. Par la suite nous avons identifié les différents items présents en commun dans les différents questionnaires afin de les regrouper dans un seul. Après triangulation de nos résultats, nous avons confronter notre questionnaire à l'avis des experts via une ronde Delphi.

    Résultats : Vingt-quatre tests ont été retenus et après triangulation, trente-deux items ont été extraits afin de créer notre questionnaire. Nous avons ensuite confronté ce questionnaire à six experts lors d'une ronde Delphi de trois tours qui nous a permis de valider vingt-cinq items sur les trente-deux initiaux. Quatre sont encore soumis à débat tandis que trois ont été invalidés. À savoir que parmi les vingt-cinq items validés, six ont nécessité une reformulation en suivant les commentaires des experts.

    Discussion : Il est possible de réaliser un questionnaire pour dépister l'ensemble des facteurs de risques de rechute en addictologie, modifiables par le médecin généraliste. En suivant les différents facteurs de risques liés à la rechute nous avons élaboré un questionnaire validé par un ensemble d'experts. Un tel outil nous parait essentiel pour mieux prévenir les rechutes chez les patients addicts. Afin de poursuivre notre travail et valider les items encore à débat, l'utilisation de notre questionnaire en pratique clinique semble particulièrement pertinente.

  • Élaboration d'un questionnaire identifiant les facteurs de risques de rechute en addiction, modifiables par le médecin généraliste    - Papin Yusha  -  07 décembre 2023  - Thèse d'exercice

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    Introduction : Les troubles addictifs sont encore aujourd'hui un enjeu de santé publique majeur, du fait du nombre de décès dont ils sont responsables chaque année. Le mécanisme de rechute, bien qu'encore mal codifié, est une étape quasi obligatoire chez les patients souffrant de ces troubles. Il parait donc essentiel de mieux l'appréhender, en particulier en médecine générale, afin de mieux le prendre en charge. Avec l'existence de nombreux tests cliniques évaluant différents facteurs de risques, aujourd'hui rattachés à la rechute via de précédents travaux, il nous a paru pertinent de créer un questionnaire unique visant à prévenir le risque de rechute à proprement parlé.

    L'objectif de cette étude est de créer un questionnaire pour dépister l'ensemble des facteurs de risques de rechute en addictologie, modifiables par le médecin généraliste, afin de mieux prévenir les rechutes chez les patients addicts.

    Méthode : Nous avons réalisé une revue de la littérature afin d'y extraire le plus de test concernant les différents facteurs de risques de rechutes identifiés lors de précédents travaux.

    Par la suite nous avons identifié les différents items présents en commun dans les différents questionnaires afin de les regrouper dans un seul. Après triangulation de nos résultats, nous avons confronter notre questionnaire à l'avis des experts via une ronde Delphi.

    Résultats : Vingt-quatre tests ont été retenus et après triangulation, trente-deux items ont été extraits afin de créer notre questionnaire.

    Nous avons ensuite confronté ce questionnaire à six experts lors d'une ronde Delphi de trois tours qui nous a permis de valider vingt-cinq items sur les trente-deux initiaux. Quatre sont encore soumis à débat tandis que trois ont été invalidés. À savoir que parmi les vingt-cinq items validés, six ont nécessité une reformulation en suivant les commentaires des experts.

    Discussion : Il est possible de réaliser un questionnaire pour dépister l'ensemble des facteurs de risques de rechute en addictologie, modifiables par le médecin généraliste. En suivant les différents facteurs de risques liés à la rechute nous avons élaboré un questionnaire validé par un ensemble d'experts. Un tel outil nous parait essentiel pour mieux prévenir les rechutes chez les patients addicts. Afin de poursuivre notre travail et valider les items encore à débat, l'utilisation de notre questionnaire en pratique clinique semble particulièrement pertinente.

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