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Pinsard Michel

Les travaux encadrés par "Pinsard Michel"

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  • Le médecin généraliste : acteur primordial dans l'information sur le don d'organe auprès des jeunes    - Teillard Lucie  -  14 octobre 2013  - Thèse d'exercice

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    Déclarée grande cause nationale en 2009, la promotion du don d'organe auprès du grand public reste aujourd'hui un enjeu majeur de santé publique. Un décret promu en 2004 insiste sur l'importance de la place des médecins généralistes dans le relai de l'information relative au don d'organe, notamment auprès des jeunes de seize à vingt cinq ans.

    Objectifs : Evaluer la fréquence d'information relative au don d'organe auprès des jeunes en consultation de médecine générale, identifier les principaux obstacles rencontrés et les demandes des médecins généralistes pour accomplir au mieux cette mission.

    Matériels et méthodes : enquête auprès de 200 médecins généralistes exerçant en Poitou- Charentes, de janvier à juin 2013. Elaboration d'un questionnaire individuel et anonyme à réponses courtes ou fermées. Inclusion des médecins généralistes inscrits au conseil de l'ordre national des médecins et acceptant de répondre.

    Résultats : 116 médecins ont participé à l'étude. Les résultats retrouvent un nombre conséquent de médecins généralistes confrontés au don d'organe puisque 22,4 % d'entre eux ont au moins un patient ayant donné ses organes et 67,3 % soignent au quotidien au moins un patient ayant bénéficié d'une greffe. Pourtant seulement 33,6 % des médecins interrogés abordent, et ce majoritairement de façon rare, le thème du don d'organe en consultation de médecine générale. Ce taux diminue à 5,2 % si l'on cherche à cibler la jeune population de seize à vingt cinq ans. Les principales difficultés rencontrées par les médecins sont à 49,9% le manque de connaissance et à 43,1% le fait que ce soit un sujet délicat. Concernant les jeunes, la multiplicité des sujets à aborder avec une population ciblée qui n'est vue que peu régulièrement est la principale difficulté. Pour toutes les populations, le sujet est rarement abordé notamment parce qu'il n'est pas prioritaire dans l'esprit des médecins. Seulement 22,4 % des médecins généralistes interrogés connaissent l'existence de ce décret et de cette mission et seul 1 médecin sur 2 pense réellement que cette mission soit la sienne.

    Les difficultés sont donc multiples : d'une part par la représentation de cette démarche spécifique et délicate, par les réticences de chacun : patient, soignant, et enfin par la multiplicité des tâches délivrée au médecin généraliste, pivot de l'information et soignant de confiance auprès de la population générale. L'information par les médecins généralistes se doit donc d'être renforcée et soutenue notamment par tous les autres acteurs de la santé et les pouvoirs publics.

  • Évaluation du monitorage de la fréquence respiratoire après extubation en réanimation par méthode acoustique non invasive    - Cancel Amélie  -  12 juin 2014  - Thèse d'exercice

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    Introduction : La mesure en continu de la fréquence respiratoire fait partie du monitorage des patients en réanimation. La période suivant l'extubation est une période à risque où la surveillance étroite des paramètres respiratoires est primordiale. Cette étude a pour objectif de comparer trois méthodes de monitorage de la fréquence respiratoire : l'impédancemétrie, méthode la plus couramment utilisée dans les services de réanimation, la capnométrie qui sera considérée comme la méthode de référence, et la méthode acoustique non invasive, nouvel outil technologique n'ayant pas encore été évalué dans ce contexte.

    Matériel et méthode : Cette étude prospective monocentrique a été menée de janvier à juin 2012 dans le service de réanimation chirurgicale du CHU de Poitiers. Les patients étaient inclus dans l'heure suivant leur extubation après recueil de leur non opposition et leur fréquence respiratoire était enregistrée durant une heure par trois méthodes différentes, à raison de une mesure par seconde pour chaque dispositif. Pour cela, étaient disposés en plus des électrodes thoraciques standard, un masque facial de type Capnomask et un capteur acoustique adhésif de type RRa. Le biais et les limites d'agrément ont été calculés pour la méthode acoustique et l'impédancemétrie comparées à la capnométrie.

    Résultats : 28 patients ont été inclus. 57520 triplets de valeur de fréquence respiratoire ont été recueillis. Comparés à la capnométrie, les biais pour la méthode acoustique et l'impédancemétrie sont similaires (0,3 versus 0 cycle par minute, respectivement) mais les limites d'agrément sont plus étroites concernant la méthode acoustique (+/- 4,2 versus +/- 6,4 cycles par minute, respectivement, p<0,001). La proportion de valeurs différant de plus de 10 ou 20 % durant plus de 15 secondes par rapport à la valeur obtenue par capnométrie est de respectivement 4,4 % et 1,7 % pour la méthode acoustique et 9,2 % et 5 % pour l'impédancemétrie (p<0,001). La tolérance du capteur acoustique adhésif est excellente, aucun patient n'ayant eu de plaintes vis à vis de ce dispositif. A contrario, le Capnomask a été retiré plusieurs fois chez 3 patients.

    Conclusion : La surveillance continue de la fréquence respiratoire par méthode acoustique non invasive paraît une alternative intéressante chez le patient de réanimation en post extubation car sa mesure est précise et fiable, et sa tolérance est excellente.

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