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Médecine générale

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1001 travaux ont été trouvés. Voici les résultats 451 à 460
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  • Pertinence de l'antibiogramme ciblé dans la prise en charge des infections urinaires communautaires : étude auprès des médecins généralistes du Poitou-Charentes    - Fiot Jordan  -  19 juin 2018  - Thèse d'exercice

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    Objectif : L'antibiogramme ciblé est une mesure visant à restreindre la prescription des antibiotiques dits « critiques » en santé humaine en limitant la liste des antibiotiques testés transmise au prescripteur. L'objectif principal de ce travail était d'évaluer la pertinence potentielle de cet outil dans la prise en charge des infections urinaires communautaires par les médecins généralistes du Poitou-Charentes.

    Matériels et méthodes : Il s'agissait d'une étude quasi-expérimentale de type avant-après à l’aide d’un questionnaire en ligne comprenant trois cas cliniques : une cystite aiguë à risque de complication (CC1), une pyélonéphrite aiguë simple (CC2) et une infection urinaire masculine (CC3). Pour réaliser leurs choix de prescription, les participants étaient d'abord soumis à un antibiogramme standard pour chaque clinique. Dans un second temps, chacun des trois cas cliniques étaient à nouveau successivement proposé, en remplaçant l'antibiogramme standard par l'antibiogramme ciblé. Il a alors été déterminé si la conformité par rapport aux recommandations nationales était différente selon l'antibiogramme utilisé. La conformité était dite « stricte » si l'antibiotique choisi correspondait au premier choix proposé dans les recommandations nationales et « élargie » si la molécule choisie faisait partie d’une liste prédéfinie, incluant les antibiotiques de 1ère ou 2ème (voire de 3ème ou 4ème) intention selon la situation clinique considérée.

    Résultats : Le taux de participation global était de 18,4% (132/716). Tous participants confondus, l'antibiogramme ciblé a permis une amélioration du taux de conformité « stricte » de 17,4 points pour le CC1 (43,2% contre 25,8%, p < 0,05), de 16,6 points pour le CC2 (49,2% contre 32,6%, p < 0,05) et de 7,5 points pour le CC3 (68,9% contre 61,4%, p < 0,05). L'amélioration du taux de conformité « élargie » était de 35,6 points pour le CC1 (82,6% contre 47%, p < 0,05), de 6,8 points pour le CC2 (96,2% contre 89,4%, p < 0,05) et de 10,6 points pour le CC3 (90,9% contre 80,3%, p < 0,05). En excluant les participants ayant choisi de reconsulter l'antibiogramme standard après l'obtention de l'antibiogramme ciblé, l'antibiogramme ciblé a permis une amélioration du taux de conformité « stricte » de 19,5 points pour le CC1 (47,5% contre 28%, p < 0,05), de 17,7 points pour le CC2 (51,6% contre 33,9%, p < 0,05) et de 8,4 points pour le CC3 (74,2% contre 65,8%, p < 0,05). L'amélioration du taux de conformité « élargie » était alors de 39 points pour le CC1 (90,7% contre 51,7%, p < 0,05), de 7,3 points pour le CC2 (99,2% contre 91,9%, p < 0,05) et de 11,6 points pour le CC3 (98,3% contre 86,7%, p < 0,05).

    Conclusion : L'utilisation de l'antibiogramme ciblé dans la prise en charge des infections urinaires communautaires en Poitou-Charentes semble être pertinente.

  • Impact de l'éducation thérapeutique, au sein du réseau ASALEE, sur la qualité de vie des patients diabétiques de type 2    - Dubreuil Romain  -  14 juin 2018  - Thèse d'exercice

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    Le diabète est une maladie chronique dont la prévalence augmente chaque année. L'Organisation Mondiale de la Santé estime à 422 millions le nombre de patients diabétiques dans le monde en 2016. En France plus de 3 millions de personnes sont diabétiques, dont la grande majorité de type 2.

    Comme toute maladie chronique, le diabète de type 2 affecte la qualité de vie des patients. Des programmes d'Education Thérapeutique du Patient (ETP), dont le réseau ASALEE (Action de Santé Libérale en Equipe), ont prouvé leur efficacité dans la prise en charge des patients. L'objectif de ce travail était d'analyser l'impact de l'ETP réalisée en ambulatoire au sein du réseau ASALEE sur la qualité de vie des patients.

    Cette étude rétrospective est réalisée par l'intermédiaire de questionnaires, évaluant sous forme d'échelle visuelle analogique la qualité de vie des patients. Les patients inclus sont diabétiques de type 2 et participent aux séances d'ETP dans le cadre du réseau ASALEE dans quatre cabinets du Sud Deux-Sèvres. Ces questionnaires ont été recueillis entre novembre 2017 et février 2018.

    L'échantillon comprend 45 patients dont 51,1% d'hommes, avec un âge moyen de 62,44 ans. On note une augmentation significative de la qualité de vie des patients entre le début de leur prise en charge et le moment du questionnaire avec un gain en moyenne de 2,64 points (IC95% = 1,85-3,43) passant de 5,27/10 à 7,91/10. Ce bénéfice existe dès les premiers mois de prise en charge et il est plus important chez les patients les plus jeunes (+3,31 pour les moins de 60 ans).

    Ce travail démontre un impact positif de l'ETP réalisée en milieu libéral dans le cadre du réseau ASALEE sur la qualité de vie globale des patients diabétiques de type 2. Afin d'améliorer la prise en charge des patients, des études sur une plus grande population et utilisant des échelles standardisées pourraient être menées.

  • Place du médecin généraliste dans le dépistage précoce des troubles du spectre autistique chez l'enfant : enquête auprès des médecins généralistes dans l'ex région Poitou-Charentes    - Marchandin Anaïs  -  14 juin 2018  - Thèse d'exercice

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    Introduction : Les Troubles du Spectre Autistiques (TSA) apparaissent aujourd'hui comme un problème de santé publique. Leur prévalence est estimée à 1% en France. Ce trouble neurodéveloppementale précoce altère la communication et engendre des troubles du comportement qui entravent l'autonomie et la qualité de vie. Le médecin généraliste (MG) est un acteur privilégié pour le dépistage des TSA ; mais beaucoup de praticiens méconnaissent cette pathologie.

    Matériel et méthode : Cette étude évalue les connaissances du MG concernant les TSA ainsi que leurs pratiques. Un questionnaire en ligne comportant 17 questions a été envoyé à 635 MG par courriel entre août et octobre 2017. La clôture de l'étude a eu lieu le 1er février 2018. Etaient inclus les MG thésés et installés de l'ex région Poitou-Charentes. Les médecins remplaçants ou n'exerçant plus étaient exclus. Les analyses statistiques ont été réalisées en uni et multivarié par la méthode du Chi2.

    Résultats : Les MG connaissent mal la question de l'autisme ; 90.6% ignorent les critères du DSM5 et 60.6% identifient les signes évocateurs de TSA. Seuls 1/3 adressent l'enfant suspect de TSA au CAMSP (Centre d'Action Médico-Sociale Précoce). En général, les médecins souhaitent approfondir leurs connaissances à ce sujet (92.9%), mais ceux de moins de 40 ans y sont statistiquement plus favorables (98.2% p=0.03). 93.5% sont enclins à réaliser le M-CHAT (Modified CHecklist for Autism in Toddler).

    Conclusion : Les MG de l'ex région Poitou-Charentes connaissent mal la problématique des TSA mais estiment nécessaire de se former d'avantages et semblent favorables à la réalisation du M-CHAT préconisée par les recommandations nationales de 2018. Les résultats de l'étude concordent avec ceux de la Cour des Comptes de décembre 2017. La réévaluation des connaissances et des pratiques des MG après la sortie de la Stratégie Nationale pour l'autisme 2018-2022 à plus grande échelle serait intéressante.

  • Quels sont les freins rapportés par les médecins généralistes du Lot-et-Garonne sur l'utilisation du test ERTL4 en consultation courante ?    - Gyasi Béatrice  -  11 juin 2018  - Thèse d'exercice

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    Le test ERTL4 est un test de dépistage recommandé pour dépister les troubles du langage oral chez les enfants de 3 ans 9 mois à 4 ans 6 mois. Le but étant de dépister précocement les troubles du langage oral afin de mettre en place rapidement une prise en charge orthophonique. L'objectif était d'explorer les freins perçus par les médecins généralistes lot-et garonnais à l'utilisation du test ERTL4 en consultation courante. Nous avons utilisé une méthode qualitative en faisant des focus groups à partir d'un échantillon raisonné de médecins généralistes Lot-et-Garonnais. Les participants ont trouvé un test ERL4 trop couteux, trop long, complexe. Ils se sont interrogés sur l'utilité du test, sa faisabilité, sa pertinence. Les participants ne connaissaient pas le test ERTL4. De plus, ils ne sentaient pas compétent dans le dépistage des troubles du langage et donc n'en faisait pas une priorité. Mais lors des entretiens, finalement il a été mis en évidence que les médecins n'étaient pas opposés à se renseigner sur le test et à l'utiliser en consultation courante. Notre étude a pu démontrer que le test ERTL4 était un test utilisable en consultation courante.

  • Association entre l'utilisation d'un plan d'action et la sévérité des crises d'asthme chez les enfants de plus de 2 ans aux urgences pédiatriques du Centre Hospitalier de Niort    - Susong Ombeline  -  08 juin 2018  - Thèse d'exercice

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    Introduction : L'asthme est une question de santé publique de par sa fréquence, sa gravité potentielle et son coût. Le plan d'action fait partie intégrante de l'éducation thérapeutique cependant il est insuffisamment prescrit. L'objectif principal de cette étude était d'évaluer au sein des urgences pédiatriques du centre hospitalier de Niort l'association entre l'utilisation d'un plan d'action et la gravité des crises d'asthme.

    Matériel et Méthodes : L'étude s'est déroulée du 25 décembre 2015 au 25 décembre 2016. Etait inclus chaque enfant de 2 à 18 ans consultant pour une crise d'asthme. Le questionnaire était rempli par un médecin des urgences avec l'accord des parents et composé d'une partie descriptive sur les enfants, une sur le plan d'action en lui-même et une sur la prise en charge de la crise. L'analyse statistique a été réalisée avec le test de Fisher.

    Résultats : 179 crises ont été évaluées. Parmi les enfants qui consultaient pour une crise d'asthme légère, 37 soit 48,7% avaient utilisé un plan d'action contre 31 soit 30,1%, IC95% = [1,14 - 4,27], OR=2,19 et p=0,013, pour une crise d'asthme modérée à sévère.

    Conclusion : Dans notre échantillon l'utilisation d'un plan d'action est un facteur qui diminue la sévérité des crises et donc le nombre d'hospitalisations. Sa prescription doit être réalisée y compris aux urgences dans un contexte d'exacerbation.

  • La proximité affective dans la relation médecin-patient : de la médecine de famille à la spécialité médecine générale    - Pauly Margaux  -  07 juin 2018  - Thèse d'exercice

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    La médecine générale a subi de profonds bouleversements ces cinquante dernières années, renouvelant les bases de la relation médecin-patient. Réfléchissant sur l'impact de la proximité affective dans cette relation sur l'exercice de la médecine générale, dans une société en évolution permanente, nous avons fini par nous interroger sur l'existence du "médecin de famille", dont le rôle est décrit par la WONCA de 2002, en France aujourd'hui.

    Matériels et méthode : Nous avons mené une étude quantitative, par l'envoi d'un questionnaire, et qualitative, par le biais d'entretiens semi-dirigés, auprès des médecins généralistes installés en Charente-Maritime en 2017. Notre but était de recueillir les impressions, les expériences et avis des médecins généralistes sur la question posée par ce travail.

    Résultats : 142 médecins ont répondu au questionnaire et sept entretiens ont été menés. Tous les médecins participants ont été un jour exposés aux demandes de soins de membres de leurs familles. L'accès à ces sollicitations s'intègre dans le cadre d'un sentiment d'obligation, de responsabilité et d'une crainte du conflit de la part du médecin généraliste vis-à-vis de ses proches. Les jeunes installés semblent plus méfiants des répercussions de ces demandes, que leurs ainés. Selon les médecins généralistes, la notion de médecin de famille existe toujours aujourd'hui. Elle n'est cependant qu'une branche de la pratique de la spécialité médecine générale. Ces différents rôles sont, par ailleurs, imposés au médecin par le patient.

    Conclusion : L'exposition aux demandes de soins de ses proches est une chose inévitable pour un médecin généraliste. Il se doit d'avoir une pleine conscience de la spécificité de cette prise en charge, du fait de la proximité affective, pour se prémunir du retentissement qu'elles peuvent avoir. Il en va de même pour le proche patient pour lequel le médecin généraliste peut avoir figure de médecin de famille ou de médecin spécialiste en médecine générale.

  • Prescription de baclofène dans la prise en charge de l'alcoolodépendance en médecine générale en Charente-Maritime    - Cordel Florie  -  07 juin 2018  - Thèse d'exercice

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    Introduction : L'alcoolodépendance est un problème de santé publique majeur. La médiatisation d'une auto-étude de cas sur l'utilisation du baclofène dans cette indication s'est suivie de la rédaction d'une RTU. L'objectif de l'étude est l'évaluation de la proportion de prescripteurs de baclofène, complété par l'identification des motivations, craintes et circonstances de prescription ou de non prescription.

    Matériel et méthode : Une étude observationnelle descriptive de la pratique des médecins généralistes a été réalisée en Charente-Maritime dans le cadre du mésusage d'alcool par diffusion d'un questionnaire en ligne du 8 janvier au 8 mars 2018.

    Résultats : Sur les 695 médecins généralistes inscrits au Conseil de l'Ordre des Médecins en Charente-Maritime, 88 (12,7%) ont répondu au questionnaire. Presque la moitié des médecins généralistes (48,9%) était prescripteur de baclofène dans le cadre de la prise en charge de l'alcoolodépendance (8,0% régulièrement, 40,9% occasionnellement). On en dénombrait proportionnellement plus en fin qu'en début de carrière (p=0,024). Ce qui motivait la prescription chez les prescripteurs de baclofène, était en premier lieu l'efficacité d'après leur propre expérience ou celle de leurs confrères (53,5%) puis le peu d'efficacité des autres traitements addictolytiques (42,2%) et la demande du patient (41,9%). Les craintes majeures étaient : l'importance des effets indésirables (76,1%), suivie par l'absence d'AMM (56,8%). Dans une moindre mesure (33,0%), l'insuffisance de preuves scientifiques de l'efficacité de ce traitement était citée.

    Conclusion : Malgré l'absence d'AMM dans le cadre de l'alcoolodépendance, le baclofène était prescrit par près de la moitié des médecins généralistes. Les publications de deux études majeures (Bacloville et Alpadir), qui sont toujours en attente, apporteront peut-être des réponses quant à l'efficacité et la tolérance du baclofène. Une AMM est attendue dans le courant de l'année.

  • Facteurs prédictifs de mortalité chez les sujets âgés ayant un déclin rapide de la fonction rénale, hospitalisés dans le pôle de gériatrie du CHU de Poitiers    - Farlet Charlotte  -  05 juin 2018  - Thèse d'exercice

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    Introduction : Le vieillissement de la population est une problématique à échelle internationale. Dans la population âgée, de plus en plus nombreuse, l'impact du déclin rapide de la fonction rénale sur la mortalité reste imprécis. L'objectif de cette étude était d'analyser la relation entre la sévérité du déclin de la fonction rénale et la mortalité chez des patients âgés hospitalisés considérés comme « déclineurs rapides », ainsi que les facteurs prédictifs de cette mortalité. Dans un second temps, les facteurs associés au déclin rapide de la fonction rénale ont été étudiés.

    Méthode : Nous avons réalisé une étude rétrospective mono-centrique, incluant tous les patients hospitalisés à deux reprises en gériatrie au CHU de Poitiers, entre 2014 et 2015, ayant un déclin rapide de la fonction rénale (≥ 5mL/min/1,73 m² par an, selon l'équation CKD-EPI). Différentes variables ont été analysées chez ces patients, dont les variations de la fonction rénale exprimées en mL/min par an et en pourcentage par an. Les données de survie ont été établies, avec pour date de point le 31/12/2016.

    Résultats : 125 patients ont été inclus (âge moyen 85,5 ± 6 ans, 63 % de femmes, insuffisance rénale préexistante dans 43%). Nous n'avons pas retrouvé de lien statistique significatif entre la mortalité et le déclin rapide de la fonction rénale, qu'il soit exprimé en valeur absolue ou en pourcentage par an. Par contre, une relation indépendante avec la fonction rénale initiale, de la première hospitalisation a été observée (p<0,05). De plus, les facteurs prédictifs de déclin de la fonction rénale (exprimé en valeur absolue) retrouvés dans cette étude étaient l'insuffisance rénale (p=0,01) et la valeur de l'hémoglobine lors de la première hospitalisation (p=0,03). Le seul facteur qui restait significativement associé au déclin de la fonction rénale en pourcentage par an était la fonction rénale de la première hospitalisation (p<0,05).

    Conclusion : Il existait une relation entre la mortalité et la fonction rénale initiale, au cours de la première hospitalisation, chez ces patients âgés hospitalisés. On note donc l'importance de surveiller la fonction rénale initiale chez ces patients hospitalisés. Notre étude ne permettait pas d'établir une relation entre le décès et la sévérité du déclin de la fonction rénale, dans une population de « déclineurs rapides ».

  • Implication de la médecine générale dans le parcours de soin du patient atteint de cancer et de son entourage : première étude ancillaire d’une étude interrégionale (région Poitou-Charentes)    - Nicollas Vanessa  -  01 juin 2018  - Thèse d'exercice


  • Implication de la médecine générale dans le parcours de soins du patient atteint de cancer et de son entourage : 2ème étude ancillaire d'une étude inter-régionale (Poitou-Charentes)    - Robert Alexandre  -  01 juin 2018  - Thèse d'exercice


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