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  • Evaluation des connaissances et des besoins d’information des sages-femmes et étudiants sages-femmes du Centre Hospitalier Universitaire de Poitiers sur les risques et la conduite à tenir en cas d’Accident d’Exposition au Sang    - Tanneau Mélanie  -  09 juin 2017

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    Objectifs : Evaluer la connaissance, les pratiques et le besoin d’information ou de formation des sages-femmes (SF) et des étudiants sages-femmes (ESF) du Centre Hospitalier Universitaire (CHU) de Poitiers en ce qui concerne les risques de transmission du Virus de l’Immunodéficience Humaine (VIH), du Virus de l’Hépatite B (VHB), du Virus de l’Hépatite C (VHC) et la conduite à tenir en cas d’accident d’exposition au sang (AES).

    Matériel et Méthode : Il s’agissait d’une étude descriptive sur la population de SF du CHU de Poitiers et des ESF de l’école de Poitiers réalisée sur la période Mai-Juin 2016. Les données ont été recueillies à l’aide de questionnaires anonymes distribués à 63 SF et 90 ESF. Le taux de participation a été de 66,6% pour les SF et 71,1% pour les ESF.

    Résultats/Discussion : Le secteur de la naissance est un secteur à risques d’accident d’exposition au sang (AES). Cependant, l’analyse des résultats de l’étude a montré que les SF et ESF du CHU de Poitiers ne connaissent ni les risques ni les modes de transmission du VIH, VHB et VHC. De plus, ils ont également tendance à sous-estimer le risque puisque seulement 58,1% des SF et 31,8% des ESF déclarent toujours leur(s) AES. En cas d’AES, un protocole est disponible au sein du CHU et seulement 68,6% des SF et 15,4% des ESF savent où le trouver. Les soins à réaliser, le suivi médical et les démarches concernant la déclaration sont donc très peu connus. En outre, 76,1% des SF et 96,9% des ESF souhaiteraient êtres plus informés en ce qui concerne la conduite à tenir en cas d’AES.

    Conclusion : Les SF et ESF ne sont pas suffisamment sensibilisés aux risques de contamination ni suffisamment informés sur la conduite à tenir en cas d’AES. Il pourrait être proposé un renforcement de l’enseignement théorique durant les études de SF et des formations au sein du CHU. Il serait également intéressant d’évaluer leurs connaissances et pratiques concernant les moyens de prévention des AES.

  • Enquête sur la vaccination du patient atteint de cancer en onco-hématologie    - Monier Anna  -  08 juin 2017  - Thèse d'exercice

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    Introduction : La chimiothérapie (CT) expose à un risque majoré d'infections parfois graves, dont certaines peuvent être prévenues par la vaccination. Le haut conseil de santé publique recommande la vaccination contre le pneumocoque et la grippe en cours de CT, et la vaccination par le dTP-coqueluche acellulaire et contre l'hépatite B 3 à 6 mois après la fin de la CT. En France, les taux de vaccination restent bas par manque d'information des patients et des médecins. L'objectif de l'étude est d'évaluer la couverture vaccinale chez les patients en onco-hématologie et les facteurs associés à la vaccination en cours de CT.

    Matériel et méthode : Une étude observationnelle prospective monocentrique a été réalisée afin d'évaluer les pratiques en matière de vaccination (01/09/2016 – 31/10/2016). Un questionnaire de 16 questions a été distribué aux patients ≥18 ans suivis pour un cancer solide ou une hémopathie maligne, venant en consultation ou en hospitalisation programmée de courte durée dans le service d'onco-hématologie. Après analyse univariée pour sélection des variables (p<0.20) par une régression logistique simple, une analyse multivariée a été conduite (p<0.05).

    Résultats : Sur 1600 questionnaires distribués, 671 (41,9%) étaient exploitables, dont 232 (34,6%) provenaient de patients d'hématologie et 439 (65,4%) d'oncologie. La moitié des patients avait plus de 65 ans. Le sexe ratio H/F était de 0,9. Une CT était en cours ou terminée chez 501 (74,7%) patients. Le rappel contre le dTP datait de moins de 10 ans chez 59,1% et 28% déclaraient être vaccinés contre le VHB. Le taux de vaccination antigrippale des patients de moins de 65 ans sous CT ou ayant reçu de la CT était de 19,9% alors que la couverture vaccinale des plus de 65 ans était de 47% ; 32% des patients vivaient avec un entourage vacciné contre la grippe, sans influence de l'âge. La couverture vaccinale contre le pneumocoque chez les patients sous CT ou ayant reçu de la CT était de 7,3%. Deux tiers des patients se déclaraient favorables ou très favorables à la vaccination. Un patient sur 10 avait reçu une information sur la vaccination de la part de son médecin généraliste ou de son onco-hématologue. Deux tiers des patients souhaitaient recevoir plus d'information à ce sujet soit de la part de leur médecin généraliste (36,2%) ou de leur onco-hématologue (56,8%). En analyse univariée, les facteurs associés à la vaccination étaient l'âge supérieur ou égal à 65 ans (p<0.0001), la possession d'un carnet de santé (p=0.005), la vaccination contre le dTP datant de moins de 10 ans (p=0.004) ainsi que l'information reçue de la part de son médecin généraliste (p<0.001) ou de son spécialiste (p<0.001) et l'avis favorable du patient à la vaccination (p=0.0002). En analyse multivariée, les facteurs associés à une vaccination étaient l'âge de plus de 65 ans (OR 4,5 2.9-7.0, p<0.0001), l'information reçue par le médecin traitant (OR 12.9 5.5-30.1, p<0.0001), le suivi en hématologie (OR 2.0 1.3-3.1, p<0.008) et le fait d'être favorable à la vaccination (OR 2.0 1.3-3.1, p=0.003).

    Conclusion : Les vaccinations contre la grippe et le pneumocoque qui sont recommandées en cours de CT sont rarement faites, même chez les plus de 65 ans. Les patients sous CT sont cependant favorables à la vaccination et demandeurs d'informations de la part de leurs praticiens. L'information faite par le médecin généraliste est le facteur le plus important à améliorer pour favoriser la vaccination des immunodéprimés. Une nouvelle évaluation sera réalisée à un an d'une période de formation des médecins et d'information des patients sur la vaccination.

  • Relation entre activité physique, incidence, et mortalité du cancer colorectal : revue narrative de la littérature    - Urbain Stéphane  -  08 juin 2017  - Thèse d'exercice

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    Objectif : L'objectif de cette étude est d'évaluer la relation entre l'activité physique (AP), l'incidence, et la mortalité du cancer colorectal (CCR).

    Méthode : Une revue narrative de la littérature a été réalisée, en recherchant sur Medline, Cochrane et Science Direct les méta-analyses ayant pour mots-clés colorectal cancer et physical activity, publiées de 1966 à 2016.

    Résultat : 10 méta-analyses ont été sélectionnées, dont 6 portant sur l'incidence, 3 sur la mortalité, et 1 sur l'incidence et la mortalité. Il a été mis en évidence un bénéfice de l'AP sur l'incidence du cancer du colon, avec une diminution de l'incidence de 20 à 30 %. La nature de l'AP - professionnelle ou de loisir - n'affectait pas les résultats. Un effet dose-réponse était observé - l'AP intense apportait un meilleur bénéfice que l'AP de faible intensité. Aucune méta-analyse n'a pu établir un lien entre l'AP et l'incidence du cancer du rectum. Chez les patients atteints d'un cancer colorectal, l'AP était bénéfique et faisait baisser les mortalités spécifique et globale d'environ 20 %. L'AP réalisée avant diagnostic tout comme l'AP réalisée après diagnostic étaient bénéfiques, et indépendantes. Un effet dose-réponse était également observé, avec un plus grand bénéfice sur la mortalité pour les AP intenses - jusqu'à 40% pour les AP intenses réalisées après diagnostic.

    Conclusion : L'activité physique diminue l'incidence du cancer du colon et diminue les mortalités spécifique et globale des patients atteints d'un cancer colorectal. Ce constat encourage la mise en place d'AP chez les patients lors de leur prise en charge globale.

  • Les consultations des patients sourds prélinguaux au sein des UASS de France en 2016 : un essai de typologie    - Pinsembert Laure  -  08 juin 2017  - Thèse d'exercice

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    Introduction : Des unités somatiques spécifiques d'accueil et de soins pour les patients sourds ont progressivement ouverts leurs portes depuis 1995 jusqu'à ce jour. Actuellement au nombre de 16, leurs missions ont été définies en 2007 par la circulaire n°DHOS/E1/2007. Aucune étude n'avait jusqu'alors analysé les consultations s'y déroulant depuis maintenant plusieurs années.

    Matériel et méthode : Nous avons réalisé sur l'ensemble de l'année civile 2016 une étude épidémiologique descriptive observationnelle multi-site rétrospective de l'ensemble des données recueillies pour chaque consultation ayant lieu dans une UASS somatique française. Les données étaient reportées sur une grille de codage commune à toutes les unités. L'objectif principal était d'établir une typologie de ces consultations.

    Résultats : 11759 consultations on été recensées représentant une file active annuelle de 3344 patients. 91,01% des consultations duraient plus de 15 minutes. 86,01% des consultations étaient des consultations de première ligne. Les motifs de consultations les plus fréquents étaient la « pathologie courante de médecine générale » et les « explications et résultats d'examens ». Les patients porteurs de pathologies chroniques ou d'un déficit associé à la surdité occasionnaient plus fréquemment des consultations plus longues, avec un interprète et/ou intermediateur.

    Conclusion : Notre analyse nous a permis de déterminer deux profils « types » de consultations dont la prise en compte peut participer à l'optimisation du parcours de soins du patient sourd : un profil « simple » et un profil « complexe ». En outre, notre étude a permis de mettre en évidence une inégalité territoriale d'accessibilité aux soins pour la population Sourde.

  • Microbiote intestinal et diabète    - Chane yack fa Guillaume  -  08 juin 2017  - Thèse d'exercice

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    Le diabète est une pathologie chronique dont l'incidence ne fait qu'augmenter et qui est responsable de complications lourdes qui en font un réel problème de santé publique. Face à l'émergence de cette maladie, de nouvelles pistes de recherche sont étudiées. Ces dernières années, le microbiote intestinal est devenue l'une des pistes les plus intéressantes de cette recherche. Grâce aux récentes avancées en biologie moléculaire , il est désormais possible de déterminer quelles sont les bactéries présentes dans notre intestin. Leur implication ou non dans le diabète reste cependant à déterminer. L'étude de la flore intestinale pourrait permettre de déterminer les mécanismes de survenue de la maladie et pourrait même représenter une perspective thérapeutique intéressante pour diagnostiquer, prévenir ou traiter la maladie.

  • Dépister les violences sexuelles chez les adolescents : élaboration et validation du test SSToP-Aux-Violences par une étude auprès de 29 médecins en Vienne    - Moschetta Lucie  -  01 juin 2017  - Thèse d'exercice

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    Contexte : Le repérage précoce des mineurs victimes de violences sexuelles permettrait de diminuer la morbi-mortalité liée à ce problème majeur de santé publique qui concerne 9,2% des mineurs en Europe. A partir du « BITS test » composé de 4 questions (Brimades, Insomnies, Tabac, Stress) qui est validé pour le dépistage des idées suicidaires chez l'adolescent, nous avons ajouté 2 questions portant sur le poids et l'antécédent d'automutilation(s) pour proposer l'outil SSToP-Aux-Violences pour le repérage des adolescents ayant subi des violences sexuelles (VS).

    Objectif de l'étude : évaluer la performance de l'outil SSToP-Aux-Violences à travers l'évolution de la prévalence des VS entre la phase observationnelle et la phase d'utilisation de l'outil. Les objectifs secondaires étaient d'évaluer la validité intrinsèque de l'outil BITS et SSToP-Aux-Violences ainsi que la pertinence des différentes questions composant l'outil pour le repérage des VS. Enfin, nous avons étudié l'acceptabilité, l'intérêt et la faisabilité de l'outil auprès des médecins participants.

    Méthode : Etude interventionnelle avec comparaison avant après auprès de 27 médecins généralistes et 2 médecins scolaires de la Vienne. Une phase initiale observationnelle où le médecin investigateur disait s'il suspectait des VS chez l'adolescent qu'il recevait, puis une phase d'utilisation de l'outil SSToP-Aux-Violences où le médecin terminait en posant la question d'éventuelles VS subies.

    Résultats : La prévalence des adolescents victimes de VS a été de 3,9% en phase avant et 8,2% en phase après, avec un OR = 2,18 [0,84 – 5,62]. Nous avons retrouvé une sensibilité de 72% et une spécificité de 78% avec un rapport de vraisemblance positif de 3,27 pour l'outil SSToP-Aux-Violences avec un seuil d'alerte à 3 pour les questions du BITS (Brimades, Insomnies, Tabac et Stress) et un seuil d'alerte à 1 aux questions additives (Poids et Automutilations). En analyse univariée, les questions Brimades, Insomnies, Stress, Poids et Automutilations sont apparues très significativement liée à l'antécédent de VS subie. En analyse multivariée, le stress et les automutilations étaient indépendamment liés à cet antécédent. L'évaluation de l'outil par les médecins participants a été très bonne.

    Discussion : Cette étude n'a pas permis de mettre en évidence de résultat significatif sur l'évolution de la prévalence des violences sexuelles suite à l'utilisation de l'outil SSToP-Aux-Violences, du fait notamment du faible effectif étudié. Cependant, l'outil SSToP-Aux-Violences semble intéressant et performant au regard du rapport de vraisemblance et de sa sensibilité et spécificité.

  • Méta-analyse des effets indésirables de la paroxétine et construction d'une fiche d'aide à la décision    - Escartin Lucie  -  01 juin 2017  - Thèse d'exercice

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    Introduction : La décision médicale partagée, enjeu fondamental d'une médecine moderne, est souvent compliquée par le manque de données disponibles sur les thérapeutiques. Il est donc nécessaire pour les prescripteurs et pour les patients de bénéficier de fiches d'aides à la décision. Cette méta-analyse, travail pilote du projet « Reconstruire l'Evidence Based », a pour but de quantifier les effets indésirables de la paroxétine, afin de construire une fiche d'aide à la décision.

    Matériel et Méthode : Cette étude a été réalisée selon le protocole PRISMA, référentiel pour la conception et l'écriture des méta-analyses. Elle a inclus les essais cliniques randomisés en double insu des bases de données Medline et GSK, comparant la paroxétine à un placebo. Les effets indésirables ont été relevés, et pour chacun d'entre eux, ont été calculés le risque de base et le nombre de patients à traiter. Deux fiches d'aide à la décision ont ensuite été créées sur le modèle du Harding Center.

    Résultats : Cette méta-analyse a inclus 137 études, 103 publiées et 34 non publiées, correspondant à 26 348 patients. L'analyse a permis d'identifier 59 effets indésirables non graves dont 27 significatifs, et 28 graves, dont un significatif : la labilité émotionnelle.

    Conclusion : Il s'agit de la première méta-analyse des effets indésirables de la paroxetine. Ces résultats quantitatifs ont permis la construction de fiches d'aide à la décision. Elles sont indispensables dans une pratique de la médecine moderne où la décision partagée a une place de plus en plus importante. Ces fiches devront être testées, et ont pour vocation d'être suivies par d'autre.

  • Les semelles connectées : application à l’officine    - Feuillatre Charlotte  -  29 mai 2017  - Thèse d'exercice

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    Depuis ces dernières années, nous assistons à un véritable boom des objets connectés. Ceux de santé sont de plus en plus sollicités par les professionnels de santé : auto-tensiomètre, lecteur de glycémie, oxymètre de pouls, thermomètre, semelles connectées… Ces dernières sont intéressantes pour les pharmaciens officinaux détenteurs d’un DU d’orthopédie : elles représentent un nouvel outil pour faciliter la réalisation de semelles orthopédiques à l’officine, en mesurant les différentes pressions plantaires au cours de la marche et en position statique. Actuellement, cette activité est peu exercée car elle requiert beaucoup de temps, d’espace, de matériel… Grâce aux semelles connectées, la conception de semelles orthopédiques est facilitée et ludique. Au cours de cette thèse, nous avons mené une étude sur 33 personnes et extrait 3 cas explicites afin de mettre en application l’utilisation de ces dispositifs médicaux connectés et de valider la correction choisie. Ils permettent d’obtenir une évaluation de l’efficacité des orthèses plantaires fabriquées. En outre, elles trouvent leur intérêt dans la prévention et la progression des ulcères du pied diabétique en surveillant les pressions plantaires dans la vie quotidienne (conduite automobile par exemple). Enfin, elles sont utilisées dans le secteur du sport dans le but d’améliorer les performances des marcheurs et des coureurs, d’établir un programme d’entraînement personnalisé pour chaque sportif et de prévenir les blessures éventuelles.

  • Facteurs prédictifs d'insuffisance pancréatique endocrine et exocrine après résection d'une tumeur pancréatique bénigne    - Neophytou Godet Hélène  -  29 mai 2017  - Thèse d'exercice

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    Introduction Le but de cette étude est d‘évaluer les facteurs de risques d'insuffisance pancréatique endocrine et exocrine persistantes à long terme après résection du parenchyme pancréatique dans une série consécutive de patients chez qui ont été pratiquée une duodénopancréatectomie céphalique (DPC), une splénopancréatectomie gauche (SPG) ou une énucléation dans un centre de référence et pour lesquels l'anatomopathologie objectivait une tumeur bénigne.

    Méthodes L'insuffisance pancréatique exocrine était définie par l'apparition de stéatorrhée, d'une malabsorption associée à une perte de poids significative nécessitant une supplémentation enzymatique. L'insuffisance pancréatique endocrine était déterminée par une glycémie à jeun au-delà de 1.26 g/l associé à la nécessité d'un régime pauvre en hydrates de carbone. L'analyse en régression statistique univariée et multivariée de Cox teste l'association entre insuffisance pancréatique et critères cliniques, biologiques et anatomopathologiques.

    Résultats Une cohorte prospective de 92 patients de 2005 à 2016 au Centre Hospitalier Universitaire de Poitiers (France) montre que 48 % des patients ont eu une DPC, 44 % une SPG, 8% une énucléation dans le cadre de tumeurs bénignes. La médiane de suivi est de 68.6 mois +/- 42.4 mois. 54 patients ont développé une IPE et 32 ont présenté un diabète. Dans le modèle de Cox, un IMC > 28 kg/m², être un homme et présenter un syndrome métabolique était significativement associé à la survenue de diabète. Les facteurs de risques favorisant l'apparition d'IPE étaient : un IMC < 18.5 kg/m² avec une albumine < 35 g/l, une pancréatite chronique pré-opératoire, des marqueurs biologiques d'obstruction biliaire, une tumeur localisée dans la tête du pancréas, et une fibrose pancréatique objectivée durant l'intervention confirmée à l'anatomopathologie. Bénéficier d'une chirurgie pancréatique par SPG ou d'une énucléation était un facteur protecteur d'IPE. Les types histologiques tels que les tumeurs neuro-endocrines de bas grade et les cystadénomes étaient également associés à moins d'IPE.

    Conclusion Les patients obèses, de genre masculin, se présentant avec un syndrome métabolique doivent être suivis de manière rapprochée à la recherche d'un diabète, tandis que les patients dénutris, porteurs de tumeurs obstruant la voie biliaire, avec une fibrose pancréatique ou une pancréatite chronique nécessitent spécifiquement un suivi à long terme de la survenue d'IPE.

  • Les pathologies buccales : conseils et alternatives en aromathérapie : enquête au sein des officines du Poitou Charentes    - Soulet Mathilde  -  29 mai 2017  - Thèse d'exercice

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    En tant qu’acteur majeur de santé publique, le pharmacien à un rôle primordial à jouer dans la promotion de l’hygiène buccodentaire et de conseil pour éviter toutes pathologies buccales. De par sa connaissance, il participe à la prévention et à la diminution de ces pathologies.

    En effet, les officines proposent de nombreuses gammes de produits pour l’hygiène et les soins bucco-dentaires, si bien qu’il est difficile pour le patient de choisir le bon en fonction de sa pathologie.

    Cette thèse, dans un premier temps, rappelle les notions importantes de l’aromathérapie pour conseiller des huiles essentielles à l’officine. Dans une seconde partie, nous évoquons les principales pathologies buccales rencontrées à l’officine, ainsi que les conseils d’hygiène, OTC et aromatérapeutiques qui peuvent être délivrés.

    Enfin, à travers une enquête réalisée au sein d’officines du Poitou-Charentes, nous avons cherché à connaître le niveau de connaissance des équipes sur les conseils d’huiles essentielles.

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